*** TOUR du MONDE de MARIO ***

[Web_Master_MCDF]

Aprés une courte pause sur notre sol Mario continue son aventure.

Pour ceux qui pratiquent la langue de Cerventes, vous pouvez suivre son parcours sur son site
http://www.uruguayporelmundo.com

Merci a ceux qui maitrisent cette langue de nous traduire ici les morceaux choisis

[Olivier 75/37]

Merci Pascal pour ce lien.
Pour accéder à la carte du voyage, allez à la rubrique "recorrido"; je pense qu'elle n'a pas été actualisée car Mario a changé son parcours afin d'être à Amboise.

[STEF 64/40]

Vous le reconnaissez?

http://fr.youtube.com/watch?v=_3ArPMrca ... re=related
http://fr.youtube.com/watch?v=ndB0K67AJ ... re=related
http://fr.youtube.com/watch?v=KwFwLu_Ln ... re=related
http://fr.youtube.com/watch?v=1rP6PBJzrjM

[Papy-Smuche-95]

C'est de la "traduction" automatique ( http://www.systran.fr/ )
mais le sens général reste assez compréhensible...

sacré Mario

- - -

08 juin
Europe-l'Espagne/Valence à Grenade


Rencontre avec celle « puissante »

Mardi le matin en Valence, je me suis mis en communication avec l'entreprise transporteur, puisque le bateau avait amarré à quai en port, lundi l'après-midi.

Ils m'ont expliqué que comme le mehari venia dans un container de manière consolidée, avec deux véhicules plus, et que les propriétaires de l'embarquement étaient de Jaén- Andalousie, plus précisément d'ils Dansent, le container ne pouvait pas être ouvert en Valence, serait ouvert dans
Par chance les gens de la douane de Guadalquivir, qui sont le lieu où arrivait le container, ont résulté gens très gentils et solidaires. Il résulte que mes contacts dans la douane étaient Rosío ET Magdalena ; Rosío a été offert d'aller moi chercher à Dansent arrivée, puisque la douane cette a quelque 15 km. d'ils Dansent dans un polygone industriel.

Mon anxiété le long du voyage de l'autobus, croissait au fur et à mesure qu'on approchait le destin final.

Dès qu'il arrive m'attendait Rosio comme acord
Le matin suivant je me suis disposé à réparer ce qui est homocinétique., au désarmement et suis sorti à chercher à un décolleteur pour que mo'il fasse un axe ce que s'était cassé, j'ai trouvé un atelier de fabrication de carrosseries de camions où ils avaient un treuil et un mécanicien, de nom José Dieu, qui résulterait un homme très affable et consacré, il dans un instant a tourné la pièce et suis rapide.

Au bout de l'après-midi laissez armée ce qui est puissante et prête à partir, et l'ai décidé de passer la nuit dans le parking de de ce qui est hostal
Dès qu'il a émoussé le soleil se lève et ai fait ordre et charge tout en mettant direction pour Grenade, première ville qu'elle toucherait avec ce qui est puissante en Espagne. Mais mon intuition ne m'a pas prononcée, et à quelque 50 km. on a récemment cassé ce qui est homocinétique. Mais cette fois, en séance plénière route et au milieu du néant, il croisait un pont très haut au moment de la rupture, et l'ai décidé de me mettre sous le pont puisque le lieu ainsi le permettait, puisque le courant qui passait par au-dessous n'était pas très caudaloso.
Dès que j'ai stationné sous ce pont et il me baisse, j'ai pu apprécier l'environnement qui m'entourait, réellement était un lieu hallucinant, entouré de montagnes pierreuses de manière très capricieuses, avec cet arroyito qu'il croisait d'eaux rapides et très troubles, puisque sans doute le lit était comme argileux.

Dans ces cas, toujours il règne dans mon, savoir chercher lui ce qui est positif du moment et ne pas m'estresar, ainsi est que j'ai pensé, ai deux homocinétiques défaites, celle de rechange qui était déjà défaite et celle qui était finie
Comme il était déjà de de tard et mo'ils restaient quelques heures de lumière, j'ai décidé de résoudre le sujet de l'eau et je me suis approché ce qui est arroyito et prenez dans une marmite suffisante de l'eau, lui laissez décanter puisqu'il paraissait lait, et après un instant on a déposé tout le dépôt dans le fonds de la marmite, et l'eau je suis cristalline et avec saveur très bonne, en dépit de il elle passe avec des soins à autre ollita et je l'ai bouillie par 10 minutes, et la trasegué à la bouteille qu'il avait vide d'eau en laissant la refroidir. J'ai armé carpe et je me suis disposé à dormir.
Au matin suivant je me suis réveillé et l'environnement du lieu ne cessait pas de m'étonner en faisant que mon optimisme ne décompose absolument.

Après avoir pris un café, je me suis mis à désarmer, et une fois que j'ai dehors eu ce qui est homocinétique j'ai commencé à voir comme vers pour faire une des deux défaites qu'il avait.

Il a presque passé demain tout le et part de l'après-midi mis en bouteilles dans ce sujet et ai obtenu armer un homocinétique, bien que ce que j'ai obtenu ait été un projet de, puisque les pièces étaient en état très mauvais, mais était le un
J'ai la plus soigneusement manié le le plus possible pour ne pas forcer la trasmisión, et ai plus pu avancer quelque 40 km, mais il s'est récemment cassé, bien qu'ait déjà terminé le chemin de montagnes et ce qui restait était déjà plus plat.

Cette fois il était à un demi - kilomètre d'un parador dans la route, avec la transmission en rendant un bruit infernal je suis arrivé à à lui et ai arrêté dans un vaste parking. Qui pouvait faire

Il ne disposait déjà pas homocinétiques, ainsi il est que me cela s'est produit éliminer la transmission dans une roue et suivre seulement CO
Seulement ils me séparaient 40 km. et apparentement comme il venait il pouvait arriver, jusqu'à ce que le chemin ait été mis en montée et ce qui est puissante a commencé à perdre vitesse, a été un moment de tension, la sima était très près et le mehari pauvre avançait à peine.

À cette colline nous le gagnons, ainsi il est que nous avons pu suivre, mais au petit instant est apparue une autre plus en pente et à 400 mètres de la sima il est resté.

Arrêtez avec ce qui est banquina dans une autoroute, en pensant que comme à Montevideo, si vers des signes quelqu'un pourra me remorquer h
Au bout des minutes est apparue une patrouille et les agents un peu gênants, puisque ce qui est puissante était avec ce qui est banquina et elle occupait une des quatre voies de l'autoroute, et cela n'est pas permis. Ils ont poussé colline a sous jusqu'à laisser hors de la voie à ce qui est puissante, et ensuite commençons à converser relatif à l'assurance (qu'il n'avait pas) pour demander une grue qui viendrait remorquer au mehari.
Après quelques minutes est apparue la grue, le chauffeur quand elle chargeait à ce qui est puissante, je me demande si ce qu'il avait cassé était ce qui est homocinétique, je lui ai dit que si et il profite la demander s'il savait si en Grenade il pourrait obtenir quelques ou dans le cas contraire si connaissait quelqu'un qui la réparerait, le je me surveille je fixe et m'il a dit que tenia dans son atelier, il l'essaye d'expliquer que ce modèle était de du 77 et en outre était argentin, que ce qui est homocinétique n'était pas égale à celles qui étaient utilisées dans les modèles de de là, puisque tant
La France comme à Madrid j'ai examiné et ils m'ont dite qu'il n'était pas facile à trouver, il mo'a surveillé à nouveau fixe et il m'a dite, je ne lui ai pas dit que j'ai plus de une dans mon atelier, je l'ai surveillé et je me suis tu, mo'il a paru que c'était un homme de peu de mots, et j'ai pensé pour mon, bon nous verrons sabelotodo.
Je l'ai proposé qu'il m'emmène à son atelier pour voir ce qu'il avait.

Quand nous arriverons, m'il a expliqué qu'il était de réforme dans son atelier et qu'il ne me fixe pas dans le désordre, donc quand a ouvert la porte tout il soit en oeuvre avec des briques par ici et là, mais très près de la porte ils étaient deux jeux complets de trasmisiones de de ce qui paraissait être de Citroen, étaient jetés entre tout le désordre et très oxydées, mais pour ma surprise, quand il m'approchera et je les ai vues de de près, il ne donnait pas crédit à mes yeux,
ils étaient les mêmes que celles qu'utilisait ce qui est puissante, lui elle ne pouvait pas croire, sans doute cet homme en effet il savait de de ce qu'il parlait.

Il était déjà tard pour changer en ce moment, ainsi il est que j'ai été invité par un employé du Monsieur de la grue, à passer la nuit dans sa maison, sans doute, et comme dans d'autres occasions, avec Manuel et sa Madame je suis resté avec la sensation à vouloir partager davantage de temps avec eux puisqu'ils ont résulté d'être des personnes de coeur très bon.
Bon, le reste est histoire répétée, celle-ci était la troisième fois qui désarmait la transmission, je crois qu'il pouvait déjà le faire avec les yeux fermés, mais cette fois s'il est resté dans des conditions.

Il est ainsi que j'ai pu à peine terminer avec 30 ou les 40 km que je restaient pour arriver à Grenade.

Dans la prochaine livraison je leur compterai le début de de celle parcourue par l'Espagne et toutes les aventures arrivées.

Merci de partager avec nous.

[Olivier 75/37]

Mario a donc encore eu des galères avec les cardans spécifiques de sa Méhari argentine. Bon il semble que le sort ne s'acharne pas trop sur lui puisqu'il a rencontré de bons Samaritains mécaniciens. Nous lui souhaitons que son voyage se poursuivent à merveille sur le dos de son dromadaire.

[Stéphane41]

Très bonne surprise cet après-midi, alors que je fais quelques courses sur la place de mon village.
Je vois une méhari bleue irrémmédiablement attirée par la méhari jaune, c'est Mario qui fait route vers Paris.
Après quelques mots échangés, il repart de plus belle dans sa fière monture.

Bonne route Mario

[Vice Président MCDF (45)]

Ah bon Mario était dans le Loir et Cher alors que moi j'étais au travail sur Blois !!
C'est bien dommage j'aurai pu le rencontrer !!

Nicolas

[Papy-Smuche-95]

Bravo Stéphane ! quelle rencontre impromptue !
Merci de l'avoir signalé. Ca a du te faire un choc cette "chose" bleue qui te tournait autour

Mario t'a-il fait part de son programme en France ?

Si nos routes se croisent, accordons-lui un accueil à la hauteur de celui nos amis Espagnols et Portugais, sinon meilleur !!!

Voici ci-dessous la traduction automatique (mais restant assez compréhensible) de son journal de bord du 16 juillet.
(casse de la carte-mère de son PC, accueil plus que chaleureux dans la Péninsule Ibérique).



Mercredi 16 juillet
Europe-l'Espagne/Grenade au Portugal


L'Espagne surprenante

Avant tout, veuille raconter les problèmes que nous avons eu avec notre ordinateur portatif. On a regrettablement brûlé la carte de base, en la laissant inutilisée, ils tiennent compte que les températures extrêmes qu'il supporte vont depuis les 45ª aux -25ª degrés, bien que ce n'ait pas été le motif de son rupture, selon le technicien qui l'a révisée, a seulement accompli son cycle de vie utile, puisqu'il y a quelque 5 mois elle se casserait en EEUU, et dans cette occasion le fixerait Gustavo Demeure, un Uruguayen que j'ai connu dans l'ambassade de notre pays à Miami, et qui nous donne actuellement son support en manière éloignée dans chaque occasion que nous le spécifions, dans cette occasion, le nous a changé la carte de base, en mettant occasion qu’il avait puisque le nôtre portable il avait quelques années et on n'obtient déjà pas rechange, et nous il a dit que pouvait durer un jour ou des années.

Mais le bon le fait est que récemment nous avons pu se faire d'un nouvel ordinateur et nous la mettons opérationnelle.

J'espère que vous pouvez nous excuser et comprendre ces retards.

Je vous raconte, et en me mettant à jour que après avoir eu dans des conditions à ce qui est puissante, ai commencé le parcours en Espagne.

Dès qu'il arrive à Grenade j'ai été direct à l'agence Citroen pour voir la possibilité de pouvoir faire un échange de publicité, comme pour pouvoir faire un certain EURO pour pouvoir poursuivre, puisque nos poches étaient vides.
Dès qu'il arrive et ai connu au propriétaire, j'ai su qu'en effet on pouvait faire quelque chose, puisque ce il était aimant des « 2 chevaux », le il avait un 2cv et un mehari, en plus d'avoir des 11 légers et GS.
On a organisé déplacé très intéressant, laissons à ce qui est "Puissante" (* note : le nom de la méhari de Mario) en exposition dans l'entrée de l'agence y ils ont convoqué aux moyens de presse, et ensuite comme Grenade était la porte d'entrée à parcourir l'Espagne et l'Europe, ils ont fait un départ depuis le agence comme Kilomètre 0

Dans notre départ de l'agence nous ils ont escorté les voitures qu'avait de sa propriété, le 2cv, le méhari, le 11 léger et le GS et nous avons donné un retour par tout Grenade, jusqu'à des escortées par la policier elle-même. Il a réellement été très bon et comme affaire nous a aussi servies aux deux, ils ont obtenu un bonne publicité en sortant dans tous les moyens et celle parcourue par toute Grenade et nous avec quelques EURO pour pouvoir suivre.

Les contacts que nous avions en Grenade d'Uruguayens, non se que je passe, parce que n'ont pas donné de signaux de vie.

Quant au lieu il est hallucinant de parcourir son ancien casque, l'Alhambra, ses parcs et ses gens, l'Espagne ne cessent pas de nous étonner à chaque moment.

Après Grenade nous avons mis direction à Séville, une autre PER elle plus de un collier interminable. L'Espagne comme l'Uruguay est divisée des départements des régions qui sont ici appelées des autonomies, celles-ci sont 17, à son tour elles sont divisées des provinces.

Andalousie qui est une autonomie, où elles sont Grenue, Cordoue, Séville, Huelva, entre autres, est, et ne peux pas dire la plus jolie, parce que chacune a son enchantement et caractéristiques, mais si j'ose dire que comme Uruguayen, habitué à nos côtes et voir mer, qui sans doute il est imposant dans tous ses recoins et plis.

À Séville j'ai connu à Magdalena, un uruguayenne que celle-ci il y a des années, consacrée à la gastronomie et très liée au monde du théâtre et à la littérature. De la main de d'elle j'ai connu d'importants lieux de Séville, sans doute il est très différent de connaître une ville avec quelqu'un que te compte une partie de son histoire, lui découvrir un même, au moins quand les villes garderont beaucoup d'histoire.

Après un certain temps, j'ai mis une direction au Portugal. L'idée est de remonter au nord de l'Espagne par la côte du Portugal, dans le nord faire La Corogne, Santander, et de là baisser à Madrid, et de Madrid extraire pour le sud à Huelva pour faire toute la côte du sud et entrer à la France.

Le Portugal est un pays, à mon avis, de profil sous. On parle peu du Portugal, mais a des beautés naturelles impressionnantes, presque toute sa côte est dragué, mais avec des vues inoubliables, en commençant par Lisbonne, Nazare et Porto. Quant à des compatriotes, ils sont très faibles, seulement à Lisbonne j'ai fait contact avec deux d'entre eux et m'ils commentaient qu'ils ne connaissaient pas à aucun autre Uruguayen.

Mais l'anecdote pour compter du Portugal est l'histoire qui leur compte ensuite.

Après avoir sorti de Lisbonne, et en faisant côte arrivez à un village appelé Peniche que celle-ci sur la côte, après ce point la route est mis un un peu plus à l'intérieur, disons davantage de séparé que la côte, les paysages qui étaient donnés étaient tellement fabuleux qu'il avait oublié de me déjeuner.
Avant d'arriver déjà au prochain peuple appelé Ovidio, un peu loin de la côte j'ai trouvé avec la route un poste de vente de pains faits à la maison horneados en four de bois de chauffage et avec des chorizos mélangé dans la masse. J'ai décidé d'arrêter pour manger quelque chose. Je me suis approché au poste, qui en réalité est la remorque d'un camion, aussi grand qu'un container de 40 pieds, et de la fenêtre de vente on voyait les fours de bois de chauffage.
le pain fait à la maison avec chorizo qu'ils vendaient et leur achète et un rafraîchissement, nous commençons là à converser de ce qu'il faisait, et dans quelques minutes ils ont invité à me passer à l'intérieur pour partager leur déjeuner puisqu'ils étaient dans cela, Mario (tocayo le mien) et son frère étaient pour manger un poulpe à l'ailloli avec des papas fritas, qui était très bon.

Après avoir partagé son déjeuner et avoir conversé de tout un peu leur laissez de mémoire
des monnaies de l'Uruguay, ils m'ont donné des monnaies dont ils étaient utilisés avant l'EURO, nous nous écarterons et quand il restait à partir déjà avec le moteur en marche m'ont appelée et m'ont donné une bourse avec deux pains quelques boîtes de conserve de conserve et un rafraîchissement pour qu'il m'emmène.

Réellement restez comme déplacé, ce sont les choses qui m'arrivent qu'il se coûte assimiler, et comme je dis, les gens en essence sont de bon coeur et très solidaire.

L'autre histoire du Portugal a été dans une Station thermale appelée Miramar, là moi me trouvait en chargeant combustible dans ce qui est puissante quand on approchera un
personne et s'est présentée comme amant des 2 chevaux, il m'a donné son numéro de téléphone et il m’a demandé que dès que je passerai par Braga de l'appellerait et je m’arrêter
qui m'emmènerait au club de 2 CV dont il était membre.
Après quelques jours et d'avoir passé par Porto, une belle ville quelque chose semblable à Lisbonne, entrait dans la ville de Braga et arrête dans une station service pour appeler par téléphone à cette personne, en cherchant un téléphone public se heurte avec un atelier de Citroen 2CV qui tenia dans la porte pour commencer un 2CV de 64 en état impeccable, quand j’entrerai à l'atelier je ne pouvais pas donner crédit à mes yeux, il y avait là des reliques restaurées et pour restaurer, joint des photos qui est la meilleure manière de transcrire ce qui est vu. À des moments rien plus, le propriétaire de l'atelier appelait au club et contact puisqu'il connaissait tous, en question d'une demi - heure un peu plus ont commencé à paraître citroen 2 CV, AKR, Ami 8 et meharis. Arrive le président du club de 2 chevaux « Bicavalaria JO Minho » et m'ont invitée à parcourir la ville en caravane et ensuite à dîner dans un restaurant très élégant, ils m'ont remplie de cadeaux et de souvenirs et plus tard ils m'ont hébergé avant dans un hôtel, sans me livrer une enveloppe avec argent pour collaborer avec le voyage. Ces choses qui m'arrivent sont très difficiles à assimiler, déjà pas plus de un mois de ces événements et je ne termine pas encore de me surprendre.

Bon déjà totalement opérationnel avec ce qui est nouveau ordinateur portable, j'espère vous faire plusieurs livraisons moyennes tu rassembles pour pouvoir me mettre à jour avec vous.

Dans les prochains journaux, je continuerai à vous compter davantage d'anecdotes depuis l'Espagne.

Merci de suivre avec nous.

[Papy-Smuche-95]

Traduction automatique (Systran) de son journal de bord du 4 août.

nota: Stephane41 l'a rencontré le 31 juillet en Sologne

Lundi 04 août
Europe-l'Espagne/Portugal/Espagne


NORD DE L'ESPAGNE

Après Braga au Portugal, j'ai continué pour la côte nord de l'Espagne, à entrer à La Corogne. Les lieux de cette zone sont surprenants comme toute l'Espagne, mais la différence que j'ai perçue a été dans les gens, sans doute je trouvais quelque chose différent et je ne pouvais pas m’en rendre compte tout ceci au niveau inconscient, mais je savais qu'il y avait quelque chose. Il a été quand je m'arrêtetais à la sortie d'un village et en demandant la route à une personne d'âge qui marchait par là, est que je me suis rendu compte et évalué la différence qui se trouvait dans les gens de La Corogne. En Galice, comme notre pays, il y a beaucoup de temps, ont émigré beaucoup de galiciens chez notre terre, en tissant entre les deux peuples un lien de traditions et des cultures, il n'y a pas famille en Galice que n'a pas un parent en Uruguay ou dans la région, il est pourquoi j'ai vu dans plus de une occasion il est facile de le comprendre, mais ce qui il est mieux de le voir et de l'assimiler. J'ai parlé avec beaucoup de d'eux et conservent encore une nostalgie pour notre pays, pour lesquels ils se sont retournés et d'autres continuent à avoir à leurs parents dans nos terres.

La côte nord de l'Espagne est très belle « paysagistiquement », par ses falaises et sa côte, ne dispose pas de grandes plages, ces dernières sont des filles calitas mais de grande beauté.

Les Uruguayens dans la région sont très nombreux, et comptent deux clubs, et quelques associations, ai eu le plaisir de partager une réunion avec un de ces clubs, où ils se réunissent et conversent de notre réalité nationale, et conservent nos racines et coutumes. Ils ont été deux Uruguayens que j'ai connus dans la porte d'un Citroen concessionnaire, qu'ils m'ont portée au club, ils m'ont donné logement et partageons des moments très bons comme toujours, comme il ne peut pas passer d'une autre manière. Mes salutations pour Gastón, Robert et famille.

De Santander, j'ai pris direction pour Logroño, avec l'intention de passer par ce qui est de la famille du Château, pour les saluer et qui connaîtraient ma « Puissante ». Le lien avec cette famille s'est rendu très étroit puisque Miguel va entreprendre son voyage en octobre avec « laid », un Citroen patito 3cv, à parcourir le monde presqu'en faisant les mêmes pays que nous. Ce sont 3 amis et Miguel qui salent dans deux 3 cv, sa page web est www.elmundoen2cv.com

Je vous raconte que son père est appelé Antonio et Ana est Architecte tout comme sa mère. Antonio a la fasciation des voyages, et est une personne qui connaît très bien, non seulement à l'Espagne mais aussi toute son histoire. Il a été celui qui nous a guidés dans notre itinéraire, qui nous a faites circuler par les routes meilleur de paysages et en parcourant tous les pueblitos et villes à travers les montagnes, il nous a commentées de l'histoire de chaque peuple et il nous a montré les barres et les bolichitos plus traditionnelle que chaque lieu. Sans doute Espagne il n'aurait pas été la même chose sans son apport.

Après Logroño le destin a aussi été là Madrid, avons parcouru la capitale au volant de « Puissante », en attirant l'attention de tout le monde, beaucoup d'Uruguayens nous ont saluées et nous ont contacté, des résidents et non résidants, comme le cas d'Adriana, une ex compagnon du lycée qui trouverait dans le centre de Madrid, et qu'après avoir causé des heures nous décidons de partager une partie du voyage par l'Espagne.

Ils ont été des jours très jolis, en partageant et en rappelant notre adolescence.

Nous avons parcouru mille villages et villes, de Madrid nous nous sommes étés pour le sud avec direction Huelva, nous passons par des villes comme Tolède, Mérida, et entre les villages de Horcaio de Montagnes, Figuiers Cáceres et Village de ce qui est Blanc.

Une fois qu'en Huelva et en contact avec l'Océan Atlantique, nous commençons à parcourir toute la côte Sud de l'Espagne jusqu'à Barcelone, dans ce trajet nous avons trouvé énormément de plages très jolies, mais parlions entre nous et tombions dans les comparaisons avec nos plages, nous n'arrivons jamais à un accord impartial, puisqu' aucun de nous deux nous avons pu trouver, dans nos comparaisons, autant d’avantages à donner à nos plages respectives, mais en réalité dans presque tous les cas le gagnant était toujours les plages de l'Uruguay.

Sans doute la côte Atlantique me semble mieux que celle de la Méditerranée, peut-être étant plus champêtre et n’ayant tant de tourisme, bien que celles de la Méditerranée aient parfois un paysage hallucinant dont nous avons pu se rendre compte

Un jour, en la fin de journée, nous arrivons à Malaga sur la côte, et nous il passe une voiture qui nous ont haut crié Uruguay, bon par la suite dans des feux de signalisation, nous nous sommes mis à conversons avec ceux de la voiture, ils étaient uruguayens évidemment, mais ce qui est curieux a été qu'ils n'ont pas pensé que nous venions depuis l'Uruguay, ils ont pensé à des Uruguayens émigrés en vivant en Espagne,

Nous saluons-nous mais il résulte que ils sont baissés pour confirmer l'immatriculation de « Puissante », et donc ils se rendent compte, alors avec une spontanéité totale demandent-ils où allions-nous déjeuner et m’invitent à leur maison, bon dire ? Nous passons spectaculairement. Il est marinier, avec sa Madame et ses deux fils, dans un instant ils ont donné escalope milanaise avec des frites et salade, a été incroyable, pour un instant nous paraissions être à Montevideo.

Nous avons aussi eu l'occasion de partager en Cadix des jours avec la famille de la fille Antonio de Logroño, elle est Any et il vit avec son mari Rubén et ont un gamin qui est le plus adorable que j'ai connu, « il marque il marque », la vérité leur on que étonne.

Ce voyage a ces choses, on connaît beaucoup de gens et rapidement se intime et ensuite celles écartées sont un peu tristes, toujours je reste avec la sensation que d'avoir continué la relation, sans doute ils seraient des amis très bons.

Bon j’ai aussi trouvé beaucoup d'Uruguayens dans tous les endroits, comme par exemple, en Cálpe, nous avons été de faire un certain achat dès que nous arrivons, qui était déjà très tard et trouvions des 24 heures, le garçon qu'elle s'occupait il était compatriote, nous restons en conversant avec un bon instant, sans doute ils sont beaucoup les Uruguayens qui vivent à ce qui est long et large de España.

Bon les jours sont passés, et arrivons à Barcelone en temps et manière pour que Adriana prenne son avion de retour. Sans doute il a été séparation triste pour tous les deux.

Dans la prochaine livraison je vous conterai la sortie de l'Espagne et l'entrée la France, le pays créatif de « PUISSANTE » et certaines des coïncidences les plus peu probables qui m'arriveraient jusqu'à présent.

Merci de nous suivre

[Papy-Smuche-95]

Traduction automatique (par BabelFish, cette fois) de son journal de bord du 15 août 2008

notas:
Stephane41 l'a rencontré le 31 juillet en Sologne
une vidéo ici: Telecharger

Que de péripéties et quelles heureuses coïncidences a eu Mario ...!
Sacré lascar !!!

*Vendredi 15 août Europe-sortie de l'Espagne

Sortie de l'Espagne
À Barcelone, j'ai parcouru plusieurs concessionnaires Citroen, comme pour faire quelque argent pour pouvoir continuer, mais n'ai pas eu la même réponse qu'au reste de l'Espagne, puisque quelques jours avant mon arrivée, les banques ont résolu de couper les crédits pour l'achat de voitures, puisque la récession économique est très importante dans l'Espagne et toute l'Europe. Comment est-il croyable comment le monde est globalisé, n'importe pays où tu es, mêmes préoccupations des gens, et toujours celles-ci: l'hypothèque de la maison, les quotes-parts de la voiture et les échéances de la carte de crédit, les refinancements, etc., etc.,

Non, c'est bien comme fonctionne tout cela, mais je peux affirmer que dans tous les pays c'est pareil, et quand les banques fermeront les crédits le système économique tombera.
Tant est ainsi, que de Barcelone je m'suis été sans un centime, en cherchant meilleure occasion sur le chemin nord à la France, j'ai continué par la côte direction à la France, à parcourir sa Costa Brava célèbre, réellement les lieux sont hallucinants avec de belles vues et hameaux dans des calanches très chiquitas et pittoresques. Mon prochain destin a été Gerona, avec l'intention de visiter un certain concessionnaire, mais les résultats ont été les mêmes qu'à Barcelone ; j'ai là connu Fernando Pérez et son fils, Uruguayens. Fernando m'a donné une grande aide quant à des communications, puisqu'il enseigne de naviguer dans Internet, m'a installé un programme pour pouvoir parler téléphoniquement depuis l'ordinateur avec tout le monde parfois gratuitement et dans d'autres par des centimes, en plus de m'enseigner à me relier par le monde à des réseaux d'Internet, apport excellent, merci Fernando.

Prochain destination Figueras, récemment en visitant des concessionnaires pour revitaliser des fonds, qui à ce niveau s'éteignaient déjà, mais à une nouvelle fois la même histoire des banques, par conséquent rien.

Il est dit que Dieu serre mais qu'il ne noie pas!
Ce qui m'est arrivé après Figueras est digne de le conter comme une véritable histoire, résulte que les fonds existants donnaient pour se déplacer moi quelques kilomètres de plus, avec beaucoup de doutes j'ai arrêté à la sortie de Figueras dans une station service pour résoudre quelle direction à prendre et que pouvoir faire, puisqu'avec l'argent que je restait je pouvais seulement faire 50 kilomètres. Entre les options possibles, il était de retourner en arrière à un peuple de la côte qui est appelée Blanes et où la colonie d'Uruguayens il est nombreuse et de m'abriter entre eux, ou suivre vers la côte où il restait la dernière Citroen concessionnaire dans la côte. La chose étant de me risquer ou de me mettre à l'abri, il est évident qu'à ce moment mes esprits étaient en chute libre, et ont commencé là les événements que les je vais rapporter.

Une camionnette 4X4 corne pour recueillir mon attention, quand je lèverai la vue je vois descendre de elle Carlos. Carlos était la personne propriétaire de l'entreprise qui me transporta des USA à l'Espagne où je travaille pour deux semaines pour me payer les frais de transfert, il est espagnol, mais vit aux USA.

Ce qui est incroyable est qu'il soit de vacances par occasion par là et juste à ces moments par laquelle je traversais. Bon la joie a été mutuelle de la rencontre, et avons conversé des moments et je lui disais qu'étaient beaucoup les personnes qui voulaient savoir comme j'avais traversé l'Atlantique, et je lui ai demandé me de faire arriver des décalcomanies pour coller sur "Puissante" et ainsi favoriser son entreprise, il a dit qu'il me les enverrait par courrier, clairement, immédiatement il a dit qu'il payera pour la promotion, que mettre ces décalcomanies lui coûterait 50 EURO, sans doute en ton de blague, et la il m'a alors dite je te donne 20 EURO maintenant et le reste je le fais arriver quand m'enverras une photo de "Puissante" avec les décalques collés, plus une commission par client que je lui enverrais.

Entretemps ceci se produisait, une autre personne s'approche et il me salue en disant qu'est uruguayen, et que sa Madame qui est colombienne m'a vue passer par le centre de Figueras et elle l'a informé par téléphone, et l'homme est sorti à me chercher jusqu'à ce qu'il m'ait trouvée. Mais la chose ne termine pas là, en ce moment mon téléphone sonne et c'était une station émettrice de FM de l'Uruguay qui voulaient me faire une inteviewen en direct en ce moment.
Tandis qu'il parlait par téléphone, Carlos il a été mis à converser avec l'Uruguayen (mille excuses pas mémoire le nom de cette personne puisqu'avec toutes ces choses qui se succédaient j'ai a oublié l'annoter), dès que termine la note, Carlos s'est éloigné, nous nous sommes donnés une embrassade et serrons les mains en fermant l'accord décidé. Je me suis ensuite mis à converser avec l'Uruguayen qui était là, qui me raconte l'histoire de sa femme qui m'avait vue, et m'a dit que la Madame venait pour me saluer là aussi, est arrivée conversons un instant nous écartons, et en ce moment m'il demande qu'il lui accepte une collaboration humble pour le projet et il me met 20 EURO dans la main.

Incroyable, je ne pouvais pas croire ce qui me passait, il est évident que je n'ai pas pu lui dire que non et je l'ai acceptée l'argent. Nous nous saluons avec une embrassade et nous nous écartons. Je me suis assis dans "Puissante" et me respirez profond, donc pour savoir que je ne rêvais pas et pensait ensuite comme pouvait avoir arrivé ceci et lui-même était coïncidence pure.

Le sujet est que ne termine encore pas l'histoire: pour continuer à étonner, il en résulte que je voulais envoyer un mail au club de Citroen de Cassis en France en annonçant mon arrivée, puisqu'avec ce qui est arrivé je tenais les fonds pour arriver jusqu'là. Entre à la gare pour savoir par hasard, (aucune gare en Espagne n'a Wi FI) s'ils disposaient connexion à Internet, m'a dite évidemment que non, mais qui avaient un ordinateur pour les clients avec connexion, qui serait utilisée par le temps qu'elle voudrait, incroyable il continuait à m'étonner. Mais pour achever cette histoire qui ne termine encore pas, le fermoir final. Quand je sortirai de la gare, après avoir envoyé cet mail, je me salue un Uruguayen qu'il chargeait combustible, et nous nous avons mis à converser, il travaillait très près là dans un atelier de réparation de systèmes hydrauliques, comme on approchait la nuit, en conversant il m'a offert de rester à dormir dans l'atelier où il travaillait, et que je pourrais utiliser le bain de l'atelier et d'autres. J'ai accepté sans aucun doute, et il m'a dite qu'il devait faire des retours qu je l'attendrait là et qu' à son retour m'emmenait avec lui. Au bout de quelques minutes il est revenu mais avec un autre Uruguayen, en me disant que ce il avait meilleur confort dans l'atelier (navire ils lui disent) où le il travaillait, ainsi est que je m'suis été avec lui jusqu'à son atelier, un hangar semiabierto énorme où on voyait beaucoup de camions démontés.

Quand je le demanderai à auquel travail on consacrait dans cet atelier, il dit qu'ils démontainet des camions et les envoyaient pour l'Uruguay, par chose que j'ai immédiatement que je connaissais à une personne en Uruguay qui se consacrait à cela et j'ai dit le nom, m'a dit tout ce qu'il voyait était de lui, ne pouvait pas croire qu'il soit dans les installations de mon ami par occasion pure. A cet instant l'adrénaline de mon corps était à limite et toutes les coïncidences données dans seulement une paire d'heures étaient très des forts, sans explication, irrationnelles, seulement incroyables et pour me laisser penser jusqu'à aujourd'hui, outre le fait qu'avec tout ce qui m'était arrivé, sans doute que fermer un oeil pourrait s'avérer difficile, j'ai décidé d'avancer dans le travail et de répondre aux mails en retard, sans doute le hangar était dans la camagne, et qu'il n'aurait pas une connexion de Internet, mais au moins le laisserait dans la boite de sortie pour la vider quand l'ordinateur aura relié à un certain moment pour les envoyer.
Mais oh surprise, a été de saisir l'ordinateur et immédiatement me reliez à Internet, à une autre surprise de plus pour ce jour inoubliable et étonnant. Au matin suivant je suis parti en direction de la France, plus précisément avec l'objectif d'arriver à Cassis, une ville qui reste à quelque 200 kilomètres de la frontière de l'Espagne. Prenez par la côte qui comme je racontais plus haut, elle est très belle, par passe là par ce qui est le village de Cadaques, sans doute un PER elle en Méditerranée, où le peintre Daly, avait sa maison et peignait depuis ses fenêtres face à des paysages uniques, où le temps il prend d'autres dimensions comme les horloges de son tableau. Il faut voir ce village pour comprendre un peu plus la folie de Daly.

En Cadaques, je me suis trouvé aussi avec un groupe de jeunes uruguayens qu'ils étaient dans le pays, j'ai partagé des matés avec eux et conversons par long instant à un tel point qui a été fait de nuit, en m'obligeant à camper aux alentours de Cadaques, faire un arrêt et le jour suivant continuer le voyage. Avant de laisser l'Espagne, celle-ci m'a donné ses vues de sa côte qui sont réellement hallucinantes, en passant par Port la Forêt et de Portbouc villes de côte énorme Méditerranéennes avec vue et paysages réellement uniques. En résumé Espagne il a été incroyable et pleine de surprises, où ne m'a pas donné repos ni temps pour calmer mon étonnement, devant tant de beauté, des coïncidences et des amitiés en parcourant ses routes, villes et peuples.
L'Espagne ! ! ! … santé.
Espère retourner un certain jour. Dans prochain message l'entrée proche à la France, et à sa traversée.
Merci de me suivre!

il y a une vidéo (en Espagnol) ici : Telecharger

[Papy-Smuche-95]

Lundi 25 aout, vers 15h30, email de Mario me disant qu'il était à Paris.

Je prends connaissance du mail vers 18h30, je lui réponds, il me dit qu'il est en "stand-by" au MacDo de St Brice (95).
Il s'était rendu au pro du Chef, et trouvant porte close, il se manifestait.

Ni une, ni deux, je réponds à son mail et je lui dis: ne bouge pas (merci au traducteur automatique Web!), je démarre mémé, 10km c'est vite fait, et je file le chercher.

En cours de route, je passe un coup de fil à mon fils (qui lui, parle Espagnol), et quelque temps plus tard, nous voici à table ...



et bien, pendant ce temps là, sa mémé racontait ses péripéties de voyage à ma vieille 5HP Citroën !


Ah, que les filles sont bavardes !!!!!

[Olivier 75/37]

Je comprends mieux Alain pourquoi on t'appele PAPY!!! Quand on a une belle Citron 5 "Horse Power" on doit être fier de porter les Chevrons très haut.
Autrement ça n'est pas joué pour moi afin de rencontrer Mario! Demain soir départ vers les Landes, et j'en suis fort déçu...à quelques jours près...

[PASCAL78]

bjr
Effectivement je comprend mieux le mail pro que tu ma envoyeé , il est sur Paris combien de temps.
Dimanche Amiens mais samedi ???????????????????????
Pour ceux qui n'etait pas a Ambroise Mario a dormi pas avec moi mais sous ma tente avec un bric a brac de couverture et de duvet que le chef avait dans le fond de son camion.
Ce soir la mémé a dormie dehors.
[url=http://imageshack.us][/url]
[url=http://g.imageshack.us/g.php?h=131&i=p9200064nx4.jpg][/url]

[Vice Président MCDF (45)]

Papy c'est bien sympa de ta part de l'avoir invité, il devait être heureux de retrouver des membres du MCDF qui l'on si bien accueilli à Amboise !!

Nicolas

[JF GUITTARD62]

Moi j'appelle ça le bonheur, tout simplement
Il en aura des choses à raconter le Mario à son retour!