Rocamadour n'est pas le premier village de la région Occitanie à avoir été distingué par l'émission "Le village préféré des français", Saint-Cirq-Lapopie (Lot) en 2012, et Cordes-sur-Ciel (Tarn) en 2014, s'étaient classés sur la plus haute marche du podium. Et en 2015, Saint-Antonin-Noble-Val (Tarn-et-Garonne) avait terminé à la troisième place. Rocamadour a donc continué de faire briller l'Occitanie !
Dodo : nous passerons la nuit au couvent des Sœurs de Notre Dame du Calvaire à quelques km de Rocamadour. Chaque couple aura sa chambre.
Mangé : nous dégusterons des spécialités régionales : vin de noix du Périgord, confit de canard, pommes sarladaises, vin cépage Malbec et bien d'autres gourmandises !
Le Quinquinoix est un apéritif vin de noix traditionel des campagnes du Quercy. Très typique, ce vin de noix vertes possède un goût puissant et une finesse rare pour ce type de préparation.
Il est obtenu grâce au jus de noix vertes cueillies en plein été et pressées directement. Ce jus est alors élevé en fût de chêne pendant 5 ans, mélangé à du vin rouge, ce qui lui confère une saveur et un goût inimitable. Un apéritif du terroir Quercynois !
Nous le dégusterons très frais à l'apéritif. Il s'apprécie aussi avec du melon du Quercy ou du foie gras en entrée.
Le confit entre dans l'histoire grâce à Henri IV, élevé à la campagne, qui prie le gouverneur du Béarn de lui faire parvenir une douzaine d'oies salées, « les plus grosses que vous pourrez trouver de sorte qu'elles fassent honneur au pays ». Des tables paysannes, le confit d'oie et de canard passe alors aux tables des seigneurs.
La liste des péchés capitaux a été ébauchée au IVe siècle en Egypte par Evagre le Pontique, un anachorète (moine qui vit en ermite). Il détermina d’abord 8 passions néfastes : gourmandise, impureté, avarice, mélancolie, colère, paresse, vaine gloire et orgueil. Un siècle plus tard, Jean Cassien, autre anachorète, réduisit ce nombre à 7 : paresse, orgueil, gourmandise, luxure, avarice, colère et envie. A la fin VIe siècle, c’est le pape Grégoire Ier le Grand qui fixa définitivement cette liste, encore admise aujourd’hui par l’église catholique.
Pas d'inquiétude, la GOURMANDISE sera "tolérée" le samedi soir au couvent !