Posté : mar. 5 déc. 2006 16:45
Voici le scan d'un article paru dans Sud Ouest (quotidien régional) le 28 aout 06 et consacré au tourisme dans l'ile de Ré (petite ile anciennement populaire, peu connue, et aujourd'hui, très chic et beaucoup plus connue, plus du tout populaire et inabordable (malgré son pont):<br />
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"Du 4 X 4 à la Méhari. Et la piste de Trousse-Chemise vous permet aussi de succomber à la seconde coquetterie de l'été, la Méhari. Construite par Citroën entre 1968 et 1986 pour trimballer l'agri¬culteur à travers champs, cette microscopique bétaillère de plas¬tique est désormais considérée comme véhicule de collection par ceux qui roulent sur l'or. Partout dans l'île l'engin fleurit. Sitôt arri¬vé dans la campagne rétaise, il est d'ailleurs amusant de voir le Pari¬sien troquer paradoxalement son 4 X 4 contre cette caisse à savon qui fait mal aux fesses. Installé à Cassis, le patron du 2 CV-Méhari¬Club de France assure que sa cote est en train de rattraper celle de la deudeuche. « La Méhari est déjà un mythe, il est pratiquement im¬possible d'en dégoter une, même si l'on estime qu'il en reste 70 000 en circulation. Les propriétaires les gardent jalousement. C'est sur la Côte d'Azur, et surtout dans l'île de Ré, que la pression est la plus forte. Comptez au minimum 6 000 euros pour un véhicule en bon état. Quant aux paysans, ils ont été tellement sollicités que la plupart les ont revendues. » " fin de l'article<br />
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Aviez-vous conscience de circuler dans un véhicule branché ?
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"Du 4 X 4 à la Méhari. Et la piste de Trousse-Chemise vous permet aussi de succomber à la seconde coquetterie de l'été, la Méhari. Construite par Citroën entre 1968 et 1986 pour trimballer l'agri¬culteur à travers champs, cette microscopique bétaillère de plas¬tique est désormais considérée comme véhicule de collection par ceux qui roulent sur l'or. Partout dans l'île l'engin fleurit. Sitôt arri¬vé dans la campagne rétaise, il est d'ailleurs amusant de voir le Pari¬sien troquer paradoxalement son 4 X 4 contre cette caisse à savon qui fait mal aux fesses. Installé à Cassis, le patron du 2 CV-Méhari¬Club de France assure que sa cote est en train de rattraper celle de la deudeuche. « La Méhari est déjà un mythe, il est pratiquement im¬possible d'en dégoter une, même si l'on estime qu'il en reste 70 000 en circulation. Les propriétaires les gardent jalousement. C'est sur la Côte d'Azur, et surtout dans l'île de Ré, que la pression est la plus forte. Comptez au minimum 6 000 euros pour un véhicule en bon état. Quant aux paysans, ils ont été tellement sollicités que la plupart les ont revendues. » " fin de l'article<br />
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Aviez-vous conscience de circuler dans un véhicule branché ?